Etudes et analyses

La production mondiale de noix de cajou est estimée à plus de 3,7 millions de tonnes (FAO, 2021) en constante progression de 10% en moyenne avec aujourd’hui la Côte d’ivoire comme leader mondial dans la production face au Vietnam leader de la transformation. L’Afrique de l’Ouest concentre près de la moitié de cette production mais avec un taux de transformation de moins de 20% contre les pays d’Asie du Sud-Est notamment l’Inde, le Vietnam et le Cambodge .
La production mondiale de coton est estimée à 25 millions de tonnes pendant la campagne 2021- 2022 dont 74% réalisée par cinq (5) pays dont la Chine, l’Inde, les USA, le Brésil et le Pakistan. Cependant la filière du Coton a été impactée par la pandémie covid-19 et par des tensions géopolitiques.
STRATÉGIE NATIONALE D’EXPORTATION 2015-2019 STRATÉGIE SECTORIELLE NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION Après une décennie de crise politique, l’économie ivoirienne, naguère la plus importante de la sous-région ouest-africaine après le Nigéria, connaît d’énormes difficultés. Pour renouer avec la croissance dans un contexte de régionalisation de plus en plus forte, la Côte d’Ivoire a décidé dans le cadre du PACIR de promouvoir les exportations de certaines filières.
STRATÉGIE NATIONALE D’EXPORTATION STRATÉGIE SECTORIELLE FRUITS TROPICAUX. Depuis l’indépendance du pays en 1960, l’économie de la Côte d’Ivoire est basée sur l’agriculture avec le développement des grandes cultures. Les productions telles que la banane, l’ananas et la mangue, en tant cultures de diversification des productions végétales, ont joué un rôle majeur en termes de volumes exportés et de l’amélioration de la balance commerciale du pays.
STRATÉGIE NATIONALE D’EXPORTATION STRATÉGIE SECTORIELLE ANACARDE La forte croissance de la production ivoirienne de noix de cajou au cours des quinze dernières années fait de la Côte d’Ivoire le premier producteur d’anacarde du continent africain et le quatrième au niveau mondial. Toutefois, les noix de cajou ivoiriennes sont en vaste majorité vendues à l’état brut à des acheteurs qui ont développé des unités de transformation dans le pays ou à l’étranger.
STRATÉGIE NATIONALE D’EXPOR TATION RÉPUBLIQUE DE CÔTE D’IVOIRE STRATÉGIE SECTORIELLE MANIOC ET DÉRIVÉS Généralement considéré comme un produit exotique ou ethnique, le manioc connaît aujourd’hui une forte demande sur les marchés régionaux ainsi que le marché international. En Europe ou Amérique du Nord, cela s’explique par le besoin croissant de l’amidon, qui est une matière première dans plusieurs types d’industries telles que l’agroalimentaire, le textile, le papier, le biocarburant etc. En Af
L’essor du secteur au cours des 15 dernières années a été extraordinaire, et ce d’autant plus qu’il a été essentiellement engendré par la création de plantations privées de petites et moyennes tailles, sur financement propre. Aujourd’hui, les plantations d’hévéas couvrent environ 130 000 hectares, répartis entre plantations industrielles (38 %), plantations villageoises (60 %) et plantations gérées par la recherche (2 %).
Le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire veut rendre Internet accessible à toute la population au regard de son impact sur l’amélioration des conditions de vie socioéconomiques. Mais pour y parvenir, il lui faut au préalable identifier les obstacles actuels à la concrétisation de cette ambition. D’où le lancement, le lundi 7 mars  à Abidjan, de l’étude sur l’universalité d’Internet par le ministre de l’Economie numérique, des Télécommunications et de l’Innovation, Roger Adom (photo).
La production du cacao représente l’une des principales causes de la déforestation en Côte d’Ivoire et au Ghana. Au plan économique, les deux pays comptent mettre en place une alliance stratégique pour lutter contre la chute du prix du cacao sur le marché mondial. Ainsi, cette étude vise à évaluer les scénarios de croissance de la chaîne de valeur du cacao de la Côte d’Ivoire par rapport à une situation de référence afin de comparer les options de développement pour l’horizon 2030.
La production est presque systématiquement excédentaire étant donné la faiblesse de l’investissement nécessaire. Si on y ajoute la périssabilité élevée du produit et la concurrence toujours croissante, on comprend pourquoi les prix restent à des niveaux très bas et que les producteurs en tirent peu de revenus, excepté en cas de commercialisation dans les très grandes villes (Abidja, San Pedro) ou d’export vers la sous-région.